Rhône Les images hautes en couleur du salon du tatouage et du piercing au Double Mixte de Villeurbanne

F.B. - 09 févr. 2019 à 18:42 | mis à jour le 15 févr. 2019 à 23:19 - Temps de lecture :

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Le 22e Salon du tatouage et du piercing, Lyon tattoo convention, a ouvert ses portes hier samedi matin et se poursuit ce dimanche 10 février de 10 à 20 heures au Double Mixte à Villeurbanne. Le tarif d’entrée est de 15 euros. Pour y aller, privilégiez le tram T1, arrêt Gaston-Berger. Photo Maxime CARON
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15 000 visiteurs venus de toute la région fréquentent chaque année Lyon tattoo convention. « Une fréquentation stable » précise Jerry Garcia, organisateur du plus ancien salon français du genre, qui célèbre cette année sa 22e édition. « Au début, nous étions les seuls à proposer un tel événement. Aujourd’hui, le nombre de conventions de tatouage a explosé. » Photo Maxime CARON
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La mannequin tatouée Mia Dolls "mettra le feu" sur la scène du Double Mixte. Photo Maxime CARON
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Sur place 150 artistes tatoueurs sont à la disposition des visiteurs, qui viennent se renseigner, comparer les prix, discuter avec les artistes, et bien sûr se faire tatouer. En plus des tatoueurs, il y a aussi une vingtaine de stands de bijoux, vêtements, accessoires… On peut se faire plaisir avec de tout petits prix, à partir de 5 euros. Photo Maxime CARON
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Sur la scène, se succèdent spectacles et performances : les jonglages de feu du clown El Nikito, des concerts rock… La playmate Mia Dolls est annoncée dimanche à 14 heures. Autre temps fort de la journée : la prestation de Vincent Geirnaert, recordman du monde de casse, homologué au Guinness des records, qui devrait briser plus de cent parpaings avec ses coudes, le plus rapidement possible (rendez-vous ce dimanche à 10 heures). Photo Maxime CARON
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Voici Pascal Tourain, le maître de cérémonie. Deux mètres de hauteur. Entièrement tatoué. Ici aux côtés de Natole, artiste et directeur artistique de la Compagnie Arteflammes. / Photo Maxime CARON
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La playmate, danseuse et mannequin Mia Dolls. Son corps est tatoué à 80%. Qui veut faire un selfie avec elle ? Ou acheter une photo dédicacée ? Photo Maxime CARON
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Eh oui, bientôt la Saint-Valentin ! Sur place de multiples sources d’inspiration pour l’élu (e) de votre cœur. Photo Maxime CARON
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Un week-end avec en bruit de fond, celui des dermographes qui travaillent les épidermes. Photo Maxime CARON
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Audrey Gavois, 36 ans, tatoueuse depuis 11 ans, et son collaborateur David. Photo Dorothée Oké
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Sur les stands des accessoires. Photo Maxime CARON
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Selon la taille de l’œuvre corporelle, la réalisation peut prendre plusieurs heures. Lyon tattoo convention organise des concours tattoo dans différentes catégories : « Grandes pièces noir/gris », « Grandes pièces couleurs », « Best off week-end color », « Best off week-end noir et gris ». Photo Maxime CARON
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Sabrina Riboro Costa, 37 ans, tatoueuse de Genève (Suisse). Photo Dorothée Oké
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Animaux, motifs floraux, motifs réalistes, tatouages maori, crânes ou squelettes… tous les styles de tatouages sont représentés. « Il n’y a pas vraiment un motif particulier à la mode. Chaque tatouage est le reflet de la personnalité et de l’histoire de la personne qui souhaite se faire tatouer » détaille l’un des artistes. Photo Maxime CARON
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Pascal Tourain est ce qu'on appelle "bleu", entièrement tatoué hormis les mains et le visage. Photo Maxime CARON
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Des rencontres dans les allées du Double Mixte. Photo Maxime CARON
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Pour celui ou celle qui n’est pas sûr(e) de vouloir passer sa vie avec un tatouage dont il pourrait se lasser, pour les enfants ou les ados, il y a la solution du tatouage éphémère. C’est ce que propose Unik tattoo, une sorte de pochoir qui tient sur la peau d’une semaine à dix jours. Le coût : de 5 à 25€. Photo Maxime CARON
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Dans les travées. Photo Maxime CARON
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Fans de tatouages jusqu'au bout des ongles ! Photo Dorothée Oké
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Le prix des tatouages ? Difficile d’être très précis tant les fourchettes sont larges. Il faut compter entre 70 et 100 euros de l’heure. Sachant que certaines œuvres de grande taille nécessitent 4, 5 ou 6 heures de travail. Photo Maxime CARON
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Audrey Selva, tatoueuse à Montpellier depuis 7 ans. Photo Dorothée Oké
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Sibel Ozdemir fait son cosplay (animation avec déguisement). Photo Dorothée Oké
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Magalie aime changer de style sur chaque partie de son corps. Photo Dorothée Oké
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Astrid Perez, 30 ans, venue de Bordeaux. Photo Dorothée Oké
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Astrid Perez, 30 ans, tatouage tigre au " Lyon Tattoo convention 2019 ". Elle est venue de Bordeaux pour se faire tatouer par le Marseillais Juda. Photo Dorothée Oké
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Terry Garcia, 61 ans, organisateur de l'événement depuis 22 ans. Photo Dorothée Oké
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Magalie Canella, 32 ans, montre le dessin sur sa poitrine. Photo Dorothée Oké
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Magalie Canella, 32 ans. Enceinte, elle montre le tatouage qu'elle a fait avant sa grossesse. Photo Dorothée Oké
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Aude Blanquet, 27 ans, se fait tatouer un chat doré d'Afrique sur la cuisse. Photo Dorothée Oké
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Monica Tomaino, 39 ans. Elle crée une ambiance lady sexy au salon. Photo Dorothée Oké
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Tout le dos tatoué ! Photo Dorothée Oké
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"On vient tous les ans pour visiter, et cette fois-ci, nous avons notre stand en tant que tatoueurs pros" : Sabrina Riboro Costa, 37 ans et son collaborateur Emiliao. Photo Dorothée Oké
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Quang Bui, 24 ans, tatoueur pro venu du Vietman. Il vient depuis 2 ans et son style est néo traditionnel. Photo Dorothée Oké
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"Je suis venue pour voir les beaux barbus" : Méloé Colin, 21 ans, cheffe d'entreprise. Photo Dorothée Oké
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Anatole vous éclairera de ses feux magiques. Photo Dorothée Oké
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"Ça fait un peu mal mais pour de bonnes raisons." Photo Dorothée Oké
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"Satin Doll Sister" en concert. Photo Dorothée Oké
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Charline Freret, 25 ans, 2e dauphine ink girl France, s'est fait plaisir. Photo Dorothée Oké
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Il est venu du Portugal pour tatouer ses fans à Villeurbanne. Photo Dorothée Oké
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Audrey Gavois, 36 ans, tatoueuse depuis 11 ans : "Je travaille sur la finesse, j'aime embellir et raconter de belles histoires." Photo Dorothée Oké
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Un tatouage, c'est parfois une histoire d'amour... Photo Dorothée Oké
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Même les mains eu ont leur dose de tatouages ! Photo Dorothée Oké